Les variations du ciel au couchant, c'est un spectacle qui coupe le souffle, qui me laisse sans voix, sans mots... ou presque !
La lune en plein jour,
pigeons et colombes sur un toit,
la copine de Félix coincée sur un rebord de fenêtre au premier étage,
les mésanges que nourrit le voisin,
des baies qui ont traversé l'hiver,
un peu de verdure,
les menus signes avant-coureurs du printemps,
une cloche pour entrer, ou nous signaler que le temps passe...
Une série spéciale, en clin d'oeil à une belle personne...
Il y a des gens dont le regard vous ouvre
le regard
et le coeur...
Tu as raison : il y a une esthétique des pylones électriques !
L'art industriel est un art !
Tant de choses que je n'aurais pas vu pareilles sans toi !
Un dimanche de janvier où l'on se croirait en mars...
on irait par les sentiers,
respirer l'air frais,
voir ça d'un peu plus près...
prendre le soleil,
à moins que ce soit le contraire :
qu'il nous prenne, à son attrait à son charme...
en ses filets, le temps d'une balade.
Rivière, route, pré et pont, tout se mélange en mare et crue...
Les pies contemplent l'étendue liquide, livide.
Un canard esseulé lui-même en semble étonné.
Un merle, dans le jardin, paraît attendre le printemps.
Pauvre dictionnaire ! Victime d'une chute malencontreuse.
Allez, hop, une bonne couche de colle blanche, appliquée avec soin au pinceau, juste là où il faut ! J'ai vérifié avec le modèle d'un autre dictionnaire : il ne faut pas en mettre sur le dos de la tranche, qu'on laisse libre, mais uniquement raccorder les bords en bande toilée.
Mon grand-père savait faire ça, de la reliure, dans le temps : il ne m'a pas appris. Alors je me débrouille, je découvre, j'essaie. Je le fais avec plaisir, en pensant à lui.
Laissons sécher...