Des mois de maladie, de souffrance, de soins, d'espoir, de soucis, de souffrances encore...
Ils sont partis tous deux, ce mois de juin.
Ils sont encore si proches, si vivants !
Je pense tous les jours à la femme d'Hervé, anéantie, et tout son amour...
Ils sont bien plus qu'un souvenir.
Ils restent en nous, profondément. Ils deviennent comme une partie de nous.
06 2014
8 commentaires:
bien émouvant ton texte ma chère Cath
Oh non, Martin aussi, comme je suis triste... C'est terrible, vraiment, je compatis à votre grand désarroi.
Tu sais, même quand on croit à la vie éternelle, et tu sais que c'est mon cas, on n'accepte pas facilement pour autant la mort d'une personne dans la force de l'âge, et encore moins d'un enfant, d'un ado... Je t'embrasse fort, toi et les tiens, je pense fort aux familles et aux amis d'Hervé et de Martin... :(
Véro
Aïe, le choc de la mort. Elle n'est jamais acceptable. Certainement pas celle d'un gars de 17 ans. Mais toutes les autres non plus.
Troublant de lire ce billet après avoir publié celui que j'ai écrit aujourd'hui. http://reverberes.blogspot.be/2014/06/hortensias-de-vie.html.
Que de tristes nouvelles hélas, et nous ne pouvons que penser aussi à leurs proches.
Une énorme pensée pour Anne-Marie.
Ainsi va la Vie ...
C'est bien cela .Par delà la souffrance reste la révolte mais en ce qui m'a concerné , ue révolte qui est plutôt une réaction devant ce qui est l'obstinément incompréhensible . Franz Kafka a écrit : " La logique a beay être inébranlable , elle ne résiste pas à un homme qui veut vivre " .
Je suis moi-même un mauvais chrétien qui a bien du mal à croire en la Vie Eternelle ; peut-être faut-il croire en l'éternité de la Vie comme l'a écrit Ernst Wiechert.
Quatre ans après la mort de Christiane , j'ai toujours l'impression ,le soir en me couchant , qu'il y a qqun à l'étage , et elle peuple encore mes rêves .
De plus , comme dans le cas de ce jeune homme de 17 ans , l'injustice s'ajoute au non-sens . L'ordre normal , "légitime" des choses veut que les parents meurent avant leurs enfants . La nature n'est ni huste , ni injuste ; elle fait n'importe quoi .
Mot dérisoire mais quand même : courage ! bien sûr aux familles ; et courage à Mc Cathy : c'est la seule chose qui reste .
Le Hutin
Ah non ma Mouche n'avait QUE 53 ans. Je suis toujours debout car il est toujours près de moi. Merci pour ce beau texte que je n'avais pas lu.
Ah non ma Mouche n'avait QUE 53 ans. Je suis toujours debout car il est toujours près de moi. Merci pour ce beau texte que je n'avais pas lu.
Ah non ma Mouche n'avait QUE 53 ans. Je suis toujours debout car il est toujours près de moi. Merci pour ce beau texte que je n'avais pas lu.
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